Figures de proue des free parties dans les années 2000, Elisa Do Brasil a façonné la scène Drum&Bass en France. De retour sur le devant de la scène, la DJ nous délivrera un set solide accompagnée de Miss Trouble, artiste aux multiples talents dont la présence sur scène et le charisme l’ont vue se produire dans les plus grands festivals internationaux.
Collectif né à Londres au début des années 90, Asian Dub Foundation s’est imposé sur la scène internationale avec un mélange unique de dub, rock & drum’n’bass. Asian Dub Foundation c’est avant tout un son unique : un savant mélange de rythmique hard jungle, lignes de basses dub, et de musiques industrielles. Une musique portant un message militant, enflammé et furieux !
Octopus King , c’est un show rockabilly explosif et généreux car proche du public.
Le set d’une heure quinze laisse la part belle aux compositions du groupe, avec quelques reprises dansantes qui font références aux multiples influences plus ou moins populaires du combo.
Les ingrédients du Kraken’roll sont le rockabilly, le punk, le surf ou le rock’n’roll .
Ce spectacle plonge le public dans un univers 50’s 60’s modernisé dans lequel la chanteuse apporte de la fraîcheur et sa fougue contagieuse.
Moonback Stage transgresse les codes au travers de son style “Fuzzion” assaisonné de rock, de hip-hop, de psyché et de jazz proprement sali à la pédale fuzz.
C’est après quelques années de bûchage hebdomadaire au Temps Machine, que cette formation, animée par une fougue juvénile et une complicité fraternelle, débarque avec sa toute première galette sous le bras, Waxy.
Si certains aiment les lieux étriqués, le clan semble préférer les grands espaces.
Ses sonorités s’inspirent de multiples influences essentiellement puisées dans la musique des trente dernières années, comme Beastie Boys, Hiatus Kaiyote, en passant par Jack White…
Son jeu démontre à coups sûrs une certaine souplesse quant à sa capacité à faire le grand-écart.
Il y a 7 ans, Cachemire entrait dans le rock à coups de talons dans la porte, lançant par la même occasion un pavé dans la mare des puristes prouvant que celui-ci n’était pas l’apanage du phrasé anglais. Cachemire est là et bien là, avec son irrépressible envie de réveiller les consciences. En force et en riffs. Ça joue. Fort. Ça cadence. Vite. Pas de temps morts. Pas de relâchement. C’est nerveux dans l’os. Tendu dans l’artère.
Cette langue écrite en Aizoubandanzaï est d’une richesse insoupçonnée. Il existe 37 mots de base pour désigner la précision du flow de « Soviet Suprem » : chantul, gorgoute, koulikoultouk, takoum et meulmeul en sont un bel exemple. Le renne des dancefloors aizoubanais « Ilastikol Kaklu » le répète dans toutes ses soirées (attention, c’est à lire à voix haute en imitant l’echo de la sono) : « Ouah ouah ouah ouah ouah, Soviet Suprem em em em em, Ok Ok, « Mars Attack tack tack tack tack » Mayor mazik planète nèt nèt nèt nèt. Une fois de plus, ce qui se fait de bien dans notre Pays, ce sont les autres qui en parlent le mieux. Ça me rend dingue.
Jules-Édouard Moustic
